[Edit gagnant] Partenariat – 26 juin 2020 – PAGE des libraires et éditions du Mont-Blanc

Bonjour à tous,

cette semaine 2 partenaires bien différents ! Le premier est Page, la revue des libraires qui vous propose un numéro double à l’occasion de la sortie de crise. Le second, les éditions du Mont-Blanc vous fait voyager dans les pays aux hauts sommets !

5 exemplaires

En sortie de crise, PAGE, la revue des libraires choisi de sortir un double numéro d’été mettant en avant les libraires ! A retrouver également dans ce numéro coloré, un entretien avec Sandrine Collette, lauréate du Prix France Bleu / Page des libraires ; un focus sur les écrivains voyageurs ; et bien sûr une sélection polar, littérature française, jeunesse, BD ou encore poches.

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Les éditions du Mont-Blanc vous proposent de découvrir 5 de leurs ouvrages :
“L’homme a longtemps porté son regard sur les montagnes, il y a inscrit ses craintes et ses désirs, et puis ses pas, de plus en plus audacieux. Il y a forgé son empreinte au point qu’avec lui, la montagne partage une part de son histoire dont les éditions du Mont-Blanc veulent mettre les plus belles pages en lumière. Avec des livres mêlant une ambition littéraire et esthétique, culturelle et historique, sportive, écologique, scientifique autant qu’imaginaire, les Éditions du Mont-Blanc donnent à lire, à voir et à découvrir cette fascination merveilleuse, qui, toujours,  nous porte plus haut…”

 

Muztagh Ata, le père des glaciers de Françoise Cadoux.
Été 1994. Avec un dépouillement d’ascète et la désinvolture des grands forbans, deux amis partent faire un trek au Pakistan. Sans agence, sans carte, sans tente… mais pleins d’audace, disponibles à l’imprévu. Répondant à l’appel d’une montagne qui, de l’autre côté de la frontière, a vu passer les caravanes de la soie, ils rêvent du Père des glaciers, le Muztagh Ata, 7546m… Sans guide, sans oxygène, sans prévenir les autorités locales… Iront-ils au bout de leur rêve de glace ? Avec une ferveur de vivre qui accueille (souvent) l’improbable et apprivoise (parfois) l’inaccessible, ils improvisent une aventure physique, humaine et spirituelle qui mènera l’auteure plus loin que le sommet, du désert de Tartarie au Tibet. D’une écriture alerte qui marie humour et poésie, ce récit jubilatoire est celui de tribulations engagées, vécues avant l’ère des clics et des souris. Une célébration de l’esprit du voyage, ses tâtonnements et ses éblouissements. Un témoignage empreint d’humanité sur un territoire qui depuis s’est refermé. La voix d’une femme libre, prête à dévorer la vie et à en payer le prix.

Les transitions silencieuses de Juanjo San Sebastian.
Le 5 août 1994, une avalanche au K2 balaye Juanjo San Sebastián de la face nord de la “Montagne des montagnes” et le dépose au bord d’un précipice de séracs. Elle épargne Atxo, son ami basque, mais elle l’abandonne aux démons de la “zone de la mort”. Malgré son expérience, sa lucidité et sa détermination, Juanjo ne parviendra pas à le sauver. Dévidant délicatement le fil rompu ce 5 août, Juanjo retisse la généalogie d’une amitié de montagne dans laquelle se trament des histoires d’enfants, de jeunesse et de politique, ainsi que les évolutions du grand alpinisme. Du Pays basque à l’Espagne en passant par les Pyrénées, des Alpes à l’Himalaya en passant par la Cordillère andine, de boucles de vie qui se referment puis se rouvrent, apparaissent peu à peu les motifs qui ornent cette vie de grimpeur : la perte, l’amitié, l’ordre des choses, la fuite, l’équilibre des contraires, l’inversion de perspective et le goût de l’air raréfié des très hautes altitudes. À haute voix, il consume l’espace et la vie. Avec Juanjo, on a le pied au bord du vide mais on sait que « le monde est toujours devant soi ».

Le ciel pour linceul de Peter Zuckerman et Amanda Padoan
En ce jour ensoleillé août 2008, onze alpinistes meurent près du sommet du K2. Le ciel pour linceul est l’un des meilleurs ouvrages qui ait eté écrit sur cette tragédie, et sur ce qui s’est passé sur la montagne ce jour-là. Le 2 août 2008, au K2, ils étaient américains, suédois, hollandais, espagnols, français, italiens, serbes, coréens. Dans cet ouvrage, les auteurs se placent du point de vue des sherpas népalais et des porteurs pakistanais, sans qui la catastrophe aurait été encore plus grave. Ils ne jugent pas les comportements des alpinistes occidentaux ou asiatiques, mais révèlent les actes héroïques des sherpas en altitude et apportent un éclairage sur leur immense talent, la force et la loyauté dont ils ont fait preuve. Quand la plupart des grimpeurs faiblissaient dans la descente du sommet du K2, les sherpas déjà descendus au dernier camp d’altitude remontaient leur porter secours, risquant à nouveau leur vie.
La vie de ces hommes natifs de l’Himalaya, travailleurs infatigables qui risquent tout pour satisfaire les ambitions de ceux qui les emploient, nous est décrite et nous révèle leurs croyances, leurs traditions et leurs valeurs. On découvre ainsi ces personnages, peu évoqués, voire inexistants dans la majorité des récits d’ascension en Himalaya, avec leurs peurs et leurs espoirs… 
Traduit de l’anglais par Renaud Roussel

Le deuxième piolet de Dominique Tetreau
À l’issue d’une mission de sauvetage, le peloton de gendarmerie de haute montagne de Briançon découvre un corps restitué par un glacier après bien des années. Le lien est vite établi avec la disparition d’un dirigeant d’entreprise soixante-dix ans auparavant. L’enquête diligentée à l’époque avait conclu à un accident. Le PGHM va rouvrir le dossier, et la curiosité de l’un de ses membres va mettre en lumière une vérité bien différente. La haute montagne est le théâtre d’une découverte macabre qui relance une enquête criminelle captivante.

Nous n’étions que des hommes de Alexandre Barthelemy
22 juin 2013, Pakistan. Douze alpinistes meurent assassinés par des Talibans au camp de base du Nanga Parbat, 8 125 m. Accablé par la perte de sa femme Marika,
 le Français Éric Salvatore doit pourtant se relever. Au-delà de la mort, Marika ne lui donne pas le choix. Pour elle, il va devoir affronter la violence des hommes 
et des éléments. Pour elle, il va devoir faire face
à un ultime défi… Une ode à la vie, à l’amour, au courage.
 Un thriller captivant et glaçant inspiré de faits réels. 

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Pour avoir une chance de remporter l’un de ces ouvrages, participez à #VendrediLecture sur TwitterFacebook ou Instagram.

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Nos derniers gagnants avant les vacances d’été, bravo à vous.

Remportes un exemplaire de Page des libraires :

@ShyCultureL

@Manonche_

@SergeBarbet

Zédithe Leroy (FB)

@ladivadeparis

Remportes aux éditions du Mont-Blanc :

Muztagh Ata, le père des glaciers de Françoise Cadoux pour @Doomy_flo

Les transitions silencieuses de Juanjo San Sebastian pour @fran_du_collier

Le ciel pour linceul de Peter Zuckerman et Amanda Padoan pour @DaraeDragneel

Le deuxième piolet de Dominique Tetreau pour Thomas Hardy (FB)

Nous n’étions que des hommes de Alexandre Barthelemy pour Reine_deCoeur

 

Envoyez vos coordonnées postales à cadeaux@vendredilecture.com avant mardi 7 juillet 2020 en nous précisant le pseudo ainsi que le réseau sur lequel vous avez été tiré au sort. Les lots non réclamés seront remis en jeu le mercredi 8 juillet 2020.

Ne tardez pas !!!

***** Tirage au sort de la seconde chance du 08 juillet 2020*****

@laurentalbaret vous avez gagné Nous n’étions que des hommes de Alexandre Barthelemy ! Envoyez nous un mail à cadeaux@vendredilecture.com avant mardi 14 juillet. 

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