[Edit gagnant] – Partenariat – vendredi 7 septembre – Rentrée littéraire #2 / Lattès

Bonjour à tous, 

ca y est, les écoliers ont fait leur rentrée, les vendanges ont commencé et les derniers collègues sont rentrés de vacances : bref, on est en septembre ! Cette semaine, ce sont les éditions JC Lattes qui nous accompagnent et vous présentent l’intégralité de leur rentrée littéraire ! Chacun des 7 titres est à gagner en 2 exemplaires !

Nina Bouraoui, Tous les hommes désirent naturellement savoir
Tous les hommes désirent naturellement savoir est l’histoire des nuits de ma jeunesse, de ses errances, de ses alliances et de ses déchirements. C’est l’histoire de mon désir qui est devenu une identité et un combat. J’avais dix-huit ans. J’étais une flèche lancée vers sa cible, que nul ne pouvait faire dévier de sa trajectoire. J’avais la fièvre. Quatre fois par semaine, je me rendais au Kat, un club réservé aux femmes, rue du Vieux-Colombier. Deux cœurs battaient alors, le mien et celui des années quatre-vingt. Je cherchais l’amour. J’y ai appris la violence et la soumission.
Cette violence me reliait au pays de mon enfance et de mon adolescence, l’Algérie, ainsi qu’à sa poésie, à sa nature, sauvage, vierge, brutale. Ce livre est l’espace, sans limite, de ces deux territoires.

Serge Bramly, Pour Sensi
Quiconque s’obstine à pleurer la disparition d’un être cher au-delà des trente jours et des onze mois prescrits, disent les Écritures, c’est une autre disparition qu’il pleure. Au moment où commence cette histoire, Serge Bramly voit se terminer simultanément deux aventures, l’une amoureuse, l’autre littéraire. Rivka, la jeune femme avec qui il a entretenu une liaison adultère durant dix-neuf mois, vient de le quitter. Quant à son grand roman sur la conjuration de Catilina, la rédaction en est au point mort. Il semble alors à l’auteur qu’il ne sera plus jamais capable ni d’aimer ni d’écrire : devant lui, le monde se referme. Cette sensation de vide l’oblige à tourner pour la première fois son regard vers l’arrière et à arpenter le dédale de causes et d’effets qu’est sa vie, dans l’espoir de comprendre. Méditation sur un amour défunt, Pour Sensi nous emmène des oliviers de la Tunisie natale jusqu’aux contreforts de l’Himalaya et aux cérémonies vaudou des Tropiques. Car il faut saisir la magie pour goûter au pouvoir salvateur de la littérature.

Michèle Fitoussi, Janet
L’histoire de Janet Flanner est indissociable de celle du New Yorker, dont elle fut la correspondante à Paris pendant un demi-siècle. Féministe, pacifiste, gay, séductrice, brillante styliste à l’humour mordant, cette Américaine fut une figure du Paris intellectuel et artistique d’après-guerre. Dès les années trente, elle perçut la menace totalitaire. Chroniqueuse de la vie parisienne, elle s’improvisa alors journaliste politique et enquêtrice, et parcourut l’Europe pour témoigner de son temps – Hitler, Pétain, Nuremberg, le maccarthysme, Matisse, Braque, Malraux, De Gaulle comptent parmi ses reportages et portraits les plus marquants. Pour la première fois, Michèle Fitoussi fait revivre celle qui, bien avant Truman Capote, Tom Wolfe ou Gay Talese, inventa le journalisme littéraire, mais qui n’accéda à la célébrité qu’à la fin de sa vie, lorsque le National Book Award la couronna. Cette biographie qui se lit comme un roman, et où l’on croise Ernest Hemingway, Nancy Cunard, Sylvia Beach, Natalie Barney ou encore Gertrud Stein, nous transporte d’Indianapolis à Orgeval, du Paris de la lost generation à l’Amérique du New Yorker, sur les traces d’une femme résolument libre, qui voulait être la voyageuse de son siècle.

Henri Lopes, Il est déjà demain
Huit ans après l’indépendance du Congo, le gouvernement demande à ses cadres de justifier leur filiation, de prouver qu’ils sont bien congolais. Henri Lopes a trente ans. C’est une déflagration. Il n’a jamais oublié cette blessure et l’indignation ressenties. Comment prouver ce que l’on est  ? Quelles identités multiples et changeantes composent notre être  ? Henri Lopes plonge dans l’histoire de ses parents. Ils étaient tous les deux métis, nés d’une mère «  indigène  » et d’un colon, «  nègres de préférence  » un jour, «  blancs de préférence  » un autre. Henri Lopes a hérité de leurs histoires. Il a grandi au bord du fleuve Congo et du fleuve Oubangui avant de découvrir la Loire puis la Seine. Il est rentré au Congo, est reparti, a voyagé, écrit, s’est engagé. Toute sa vie a été placée sous le signe de l’errance et du métissage. Ce récit superbe, bouleversant, nous livre aussi le portrait d’un continent qui n’est dans aucun guide  : une Afrique intérieure.

Diane Mazloum, L’âge d’or
Fin des années 1960. Rock et pattes d’éph, insouciance et soleil sur la peau satinée des femmes. Ce sont les derniers jours de l’âge d’or du Liban, mais personne ne le sait encore. Certainement pas Georgina, jeune chrétienne à la beauté troublante. Ni Roland, son premier amour, qui la guette au bord d’une piscine, dans cette torpeur suave où s’agite leur groupe d’amis noceurs, à l’ombre des conversations d’adultes et des turbines d’avion – grondement de la terreur à venir. Pendant ce temps, Ali Hassan Salameh, fils d’un leader historique palestinien, s’apprête à prendre les armes. Il deviendra l’homme le plus beau et le plus dangereux du Moyen-Orient. En traçant les destinées de Georgina, devenue Miss Univers, idole chérie d’un peuple enfantin, et d’Ali Hassan, chef de guerre musulman recherché de tous et surtout du Mossad, Diane Mazloum signe une fresque vibrante qui nous emporte au cœur des années 70 et de la guerre civile libanaise. Georgina est l’histoire d’un amour, d’une famille, d’un pays, dans la fièvre d’une époque où l’on se déchire entre frères. La tragédie d’un peuple pour qui rien ne sera jamais plus comme avant.

Patrice Nganang, Empreintes de crabe
C’est la première fois que Nithap, alias Vieux-Père, rend visite à son fils installé aux États-Unis. Il a accepté de quitter Bangwa, à l’ouest du Cameroun, cette ville où il a toujours vécu, où il est devenu infirmier, où il a connu la guerre, où il est tombé amoureux, où ses enfants sont nés. Mais le séjour se prolonge : Nithap est malade et son fils veut le garder auprès de lui. À  quarante ans, celui-ci refuse que son père se laisse mourir. Il entend connaître enfin cet homme si secret auprès duquel il a grandi. Alors la voix de Nithap s’élève et remonte le temps pour raconter ce que son fils n’a pas vécu et dont personne ne parle ni ne veut se souvenir, cette guerre civile qui a déchiré le pays au temps de l’indépendance, ses soldats, ses martyrs. Le fils écoute le père, l’histoire de sa famille et la prière de cette terre devenue sanglante. De New York au pays Bamiléké, les voix se mêlent, le temps n’existe plus, les époques se confondent. Patrick Nganang, dans ce grand roman, fouille les mémoires, raconte des vies bouleversées par la guerre ou l’exil, et un pays où le passé est une douleur, le présent un combat, où chacun cherche sa liberté. 

John Boyne, Les fureurs invisibles du coeur
Cyril Avery n’est pas un vrai Avery et il ne le sera jamais – ou du moins, c’est ce que lui répètent ses parents adoptifs. Mais s’il n’est pas un vrai Avery, qui est-il ? Né d’une fille-mère bannie de la communauté rurale irlandaise où elle a grandi, devenu fils adoptif d’un couple dublinois aisé et excentrique par l’entremise d’une nonne rédemptoriste bossue, Cyril dérive dans la vie, avec pour seul et précaire ancrage son indéfectible amitié pour le jeune Julian Woodbead, un garçon infiniment plus fascinant et dangereux. Balloté par le destin et les coïncidences, Cyril passera toute sa vie à chercher qui il est et d’où il vient – et pendant près de trois quarts de siècle, il va se débattre dans la quête de son identité, de sa famille, de son pays et bien plus encore. Dans cette œuvre sublime, John Boyne fait revivre l’histoire de l’Irlande des années 1940 à nos jours à travers les yeux de son héros. Les Fureurs invisibles du cœur est un roman qui nous fait rire et pleurer, et nous rappelle le pouvoir de rédemption de l’âme humaine.
Traduit de l’anglais par Sophie Aslanides

Retrouvez toute la rentrée littéraire de JC Lattes sur leur site, Facebook, Twitter et

 

 

Pour avoir une chance de remporter l’un de ces ouvrages, participez à #VendrediLecture sur Twitter, Facebook ou Instagram (LES COMMENTAIRES SOUS CET ARTICLE NE SONT PAS PRIS EN COMPTE !)

Tout est expliqué dans notre F.A.Q

 

EDIT GAGNANT – TIRAGE DU 12 SEPTEMBRE 2018

Bravo vendredilecteurs !

  • @Fontjoyeuse
  • @MickaelRsv

Vous remportez Tous les hommes désirent naturellement savoir de Nina Bouraoui

  • @JanLooX
  • @Eclatdavocat

Vous remportez Pour Sensi de Serge Bramly

  • @Kioku_Kamui
  • @Sailordeaudouce

Vous remportez Janet de Michèle Fitoussi

  • @75020Cyril
  • Laurene Lannier (FB)

Vous remportez Il est déjà demain de Henri Lopes

  • @INHA_bib
  • @PitchTonClassiK

Vous remportez L’âge d’or de Diane Mazloum

  • @LyneRoy_corr
  • @Printsnco

Vous remportez Empreintes de crabe de Patrice Nganang

  • Sandrine Urban (FB)
  • @chantal_cathala

Vous remportez Les fureurs invisibles du cœur de John Boyne

Félicitations à vous tous !!!!

Envoyez votre adresse postale ainsi que le pseudo sous lequel vous avez été tirés à cadeaux@vendredilecture.com avant Mardi 18 Septembre. Les lots non réclamés seront remis en jeu le 19 septembre.

 

**** Edit gagnants de la seconde chance du 19 Septembre ****

Bravo aux gagnants, ce sera:

  • Tous les hommes désirent naturellement savoir de Nina Bouraoui pour
    • @panciutello
  • Il est déjà demain de Henri Lopes pour
    • @bgra02
  • Empreintes de crabe de Patrice Nganang pour
    • @StanislasDeveze

Envoyez votre adresse postale ainsi que le pseudo sous lequel vous avez été tirés à cadeaux@vendredilecture.com avant Mardi 25 Septembre. Les lots non réclamés seront remis en jeu le 26 septembre.

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.