Ici Londres !

Bonsoir à tous,

cette semaine, ce sont les Editions de Londres qui nous accompagne en ce jour de pont où certains travaillent, d’autres non ! Les Editions de Londres vous invitent à découvrir leurs nouveautés, en numérique, mêlant littérature contemporaine et classique.

kerkadek

On commence par L’Homme qui n’aimait pas Paris du Comte KerkadekCertains considèrent que c’est un récit, dénoncent ceux qui prétendent que c’est un roman, mais ceux-là ne sont généralement pas réinvités aux soirées entre amis où l’on a parlé de « L’homme qui n’aimait pas Paris » pendant toute la soirée. Ceux qui disent que c’est un roman ne croient pas que le Comte Kerkadek ait réellement vécu cette aventure. Ils en dénoncent les côtés franchement invraisemblables comme la présence de cigares de Manille et d’allumettes suite à des séjours prolongés dans l’eau. « L’homme qui n’aimait pas Paris » est donc la source de disputes qui n’en finissent pas dans les soirées entre amis, sur les plateaux de télévision, et surtout dans les réunions de famille. « L’homme qui n’aimait pas Paris », c’est la pomme de discorde qui va agiter le tout-Paris. « L’homme qui n’aimait pas Paris », ce n’est pas le troisième roman du Comte Kerkadek, c’est de la dynamite.

terrellon

En réfléchissant au titre d’Hérédité sanglante de Eve Terrellon, nous avons convenu que celui-ci devait refléter le thème central du texte, qui est celui-ci des histoires familiales, des non-dits qui les parsèment souvent, et de la transmission éventuelle de « caractéristiques » peu reluisantes au fil des générations. Dans le cas qui nous occupe dans cette nouvelle : une famille est-elle condamnée au mal, à la violence, à l’abominable  ? La question se pose, car lorsqu’un monstre sanguinaire fait la Une des journaux (et entre malheureusement dans l’histoire avec un grand H), les médias font généralement preuve d’un intérêt quasi morbide pour son entourage. On peut sans difficulté imaginer les conséquences que celle-ci. Certains pensent que c’est mérité, que les chiens ne font pas des chats. Mais est-on une « mauvaise personne » sous prétexte que l’on est fille de Pinochet ou parent de Ben Laden  ? En bref, la violence est-elle dans les gènes  ?

odyssée

L’Odyssée d’Homère raconte le retour d’Ulysse après la guerre de Troie, ses pérégrinations pendant dix ans et à son retour, la lutte contre les Prétendants qui voulaient épouser sa femme Pénélope. L’Odyssée vient du nom d’Ulysse qui se dit Odysseus en grec. L’Odyssée revient également sur plusieurs faits de la fin de la guerre de Troie qui n’étaient pas racontés dans l’Iliade, celle-ci se terminant avec la mort d’Hector. L’Odyssée aurait été composée oralement entre 850 et 750 av. JC par Homère et transcrite par écrit au VIe siècle av. JC à l’initiative du tyran d’Athènes Pisistrate. C’était un des poèmes d’un cycle épique racontant l’ensemble de la Guerre de Troie dont seuls l’Iliade et l’Odyssée sont conservés. L’Odyssée est composée de trois grandes parties qui étaient probablement à l’origine des poèmes séparés : – Le voyage de Télémaque, le fils d’Ulysse, chez Nestor et Ménélas, – Les aventures d’Ulysse en revenant de Troie, – L’élimination des Prétendants à Ithaque.

pantagruel

Pantagruel est un roman parodique de François Rabelais publié en 1532 sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier. Pantagruel est le premier livre de la geste rabelaisienne. Suivront Gargantua, le Tiers livre, le Quart livre, le Cinquième livre. La version que nous proposons est celle de François Juste éditée en 1542 contenant les dernières corrections faites de la main de Rabelais. L’idée d’écrire Pantagruel est venue à Rabelais en lisant les Grandes et inestimables Chroniques de l’énorme géant Gargantua, dont il avait été « vendu plus par les imprimeurs en deux mois qu’on a acheté de Bibles en neuf ans ». Sans doute à court d’argent ( ?), Rabelais voulut faire un livre qui se vende aussi bien et il nous « offre maintenant un autre livre du même tonneau, sinon qu’il est un peu plus véridique et digne de foi que n’était l’autre. »

voisin

Le Voisin d’Olivier Chapuis fait partie de la série Jacques l’Eventreur de la collection East End est un excellent exemple de nouvelle puisant allègrement dans les détails de l’histoire de Jack l’Éventreur, y faisant référence à de nombreuses reprises au cours du récit (de manière très directe) et qui n’a pourtant rien à voir avec l’histoire originelle. Et c’est aussi une bonne illustration de l’univers et du style d’Olivier Chapuis : calme, faussement sage et violent. Si vous y avez été sensible, nous vous invitons à vous pencher sur Fragments, premier titre publié dans la collection.

Tous ces ouvrages vous sont offerts en 2 exemplaires, vous pouvez en retrouver un extrait en cliquant sur chaque titre.

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