Visuel du partenariat rentrée littéraire La Martnière

Partenariat – 25 août 2017 – La Martinière

Cette semaine, les Éditions de la Martinière vous présentent leur rentrée littéraire et notamment la nouvelle collection Rubis.

“Pourquoi une nouvelle collection littéraire? Parce que les livres qui nous ont été confiés l’ont imposée. Leur lecture, à quelques semaines d’écart, nous ont bouleversés. Secoués, émus, choqués le sourire aux lèvres, placés devant leur évidence. Comme d’extraordinaires cadeaux que la vie vous fait parfois, il fallait
leur rendre hommage. Et que peut offrir un éditeur sinon toute sa force de travail, son âme et son soutien inexorable. Inventer cette collection rouge était la preuve de notre respect.

Rouge, comme le cœur des rois de France que certains peintres, profanateurs de tombes, broyaient pour en mêler le jus à la peinture de leur œuvre. Pour la virtuosité littéraire et la jubilation transgressive d’Isabelle Duquesnoy. Le rouge de l’émotion qui monte aux joues, l’intranquillité et le bonheur indicible des premières fois, des premiers romans. Pour la légèreté grave et sensible de Pascale Lécosse. Le rouge de la révolte, de l’autodérision, le souvenir des années punk dilué dans le conformisme de notre époque. Pour l’insoumission de Patrick Eudeline. Ces livres ont en commun d’avoir été désirés longtemps : par leurs auteurs, pour qui ils représentent un événement sans égal; par leur éditeur qui se battra pour contribuer à ce qu’on entende leur voix ; par tous les acteurs de la chaîne du livre que nous remercions profondément; et par vous, nous l’espérons si fort.”

Belle lecture, Marie Leroy, Directrice, Éditions de la Martinière Littérature

 

 

couverture du roman l'Embaumeur d'Isabelle Duquesnoy

 

L’Embaumeur ou l’odieuse confession de Victor Renard, Isabelle Duquesnoy
Fruit de dix ans de travail, le roman d’Isabelle Duquesnoy est une perle littéraire, où la truculence rabelaisienne côtoie puissance et obsession morbide.
« Pute borgnesse ! » Victor Renard n’eut jamais de chance avec les femmes. Que ce soit sa mère, l’épouvantable Pâqueline, ou l’irrésistible Angélique, la prostituée qui se moquait de ses déclarations enflammées et de sa difformité, comme de sa « demi-molle ». Victor échappe pourtant à sa condition misérable : il devient embaumeur. En ces temps troublés, quelle meilleure situation ? Les morts, après la Révolution, ne manquent pas dans Paris… Mais le sort le rattrape. Face à ses juges et à la menace de la guillotine, Victor révèle tout : ses amours dangereuses, les pratiques millénaires de la médecine des morts, le commerce des organes et les secrets de sa fortune. Où l’on découvrira que certains tableaux de nos musées sont peints avec le sang des rois de France…

 

couverture du roman Mademoiselle à la folie, de Pascale Lecosse

 

Mademoiselle, à la folie ! Pascale Lécosse
Un premier roman d’une légèreté grave, court et intense.
Comme une vie qui s’achève trop tôt. Catherine danse au sommet de sa vie. Fantasque et admirée, elle a embrassé les acteurs les plus séduisants, joué dans les plus grands films. Elle aime les autres éperdument et distraitement. Jean, son amant éternel, ministre dûment marié. Mina, son assistante, sa confidente, sa meilleure amie. Mina qui ne lui passe rien, Mina qui lui permet tout. Pourtant, un jour, les coupes de champagne à onze heures du matin, les coups de tête irrésistibles, même Catherine n’y comprend plus rien. Tout va trop vite, tout s’embrouille. Mina fera tout pour protéger Catherine de la maladie qui ne dit pas son nom. Car Mademoiselle veut jouer son rôle jusqu’au bout. Un peu, beaucoup, à la folie.

 

couverture du roman Les panthères grises de Patrick Eudeline

 

Les Panthères grises, Patrick Eudeline
Auteur de deux romans salués, Vénéneuse (Flammarion, 2013) et Rue des martyrs (Grasset, 2009), Patrick Eudeline revient avec un nouveau récit entre autodérision et génération désabusée des années 1980.
Les « Vieux » ont décidé de ne plus être nostalgiques. Ils remontent leur groupe de rock de jadis, même si « les Panthères » ont bien blanchi. Parce que malgré
leur inaptitude à vivre dans le présent – que reste-t-il de la création ? de la spontanéité quand notre monde a rendu nos vies mécaniques, virtuelles ? –, il vaut mieux en rire qu’en pleurer. « Papy » se rachète une Gibson et un perfecto. Car les Vieux, ceux qui ont connu les Trente Glorieuses, la contre-culture et le punk-rock, n’ont pas encore dit leur dernier mot. Ils sont même bien vivants.

Retrouvez toute la rentrée des Editions de la Martinière sur leur site, Facebook, Twitter et Instagram

 

 

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